Une rafale chaude balaya la rue déserte, ébouriffant mes cheveux et faisant bruisser les vêtements trop larges d’un cadavre presque décomposé qui prenait l’air devant un café. Il faisait grand beau à Urû’baën. Je sentis un frisson me parcourir l’échine.
L’ancienne capitale était, dans ces quartiers abandonnés par son peuple, un endroit terrible. Les abords de la bibliothèque de la ville avaient quasiment été épargnés par la destruction et mis à part l’occasionnelle ...
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